La lutte biologique contre notre addiction au plastique

L’humanité a découvert le plastique et a cru que cela était bel et bon. Il faut le reconnaître, le plastique nous a permis de produire plus facilement certaines choses. A l’excès sans doute puisque nous l’avons utilisé aussi pour remplacer des composants en métal, en verre, en bois, des emballages à usage unique.

Certes, certains plastiques connaissent une « seconde vie » par le recyclage — quand celui-ci est possible — ou sa transformation, mais le bilan n’est pas brillant : le plastique est partout jusque dans nos organismes et ingurgité par la faune (aquatique notamment).

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