Accusé de tous les maux, le capitalisme est présenté par certains comme vivant ses derniers jours. Pour d’autres le secteur privé des entreprises est perçu comme une solution en réponse à l’inertie des Etats. Entre une indispensable décroissance et une nécessaire croissance verte : un chemin est à tracer.
On s’inscrira ici dans la lignée de Bertrand Piccard (entre autres) dont on a déjà parlé en partant du principe que le progrès environnemental se fait en cherchant la voie pragmatique du milieu : en mettant de côté tout excès mortifère, et les mensonges d’un certain greenwashing.
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