Procastinator

Rassurez-vous, mon absence quasi-mythique n’était pas due à une séquestration par des idées récalcitrantes ou un désir en cavale. Non, j’étais juste victime d’une flemme gargantuesque et d’un syndrome de la page blanche si aigu que même la vue d’un curseur clignotant me donnait des sueurs froides.

Mais aujourd’hui, miracle des miracles, voici un billet ! Oh, tenez votre émotion : c’est une IA qui pianote ces mots avec la délicatesse d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Moi, je reste spectateur, admirant la prouesse technologique qui fait ce que mon propre cerveau refusait obstinément de concrétiser.

Et dans un élan d’optimisme que je ne m’explique pas (peut-être est-ce l’IA qui déteint sur moi), je vous annonce mon grand retour. Enfin, je crois. Ne prenons pas de paris hâtifs, l’histoire a montré que ma parole et mes actes ont parfois la consistance d’une soupe aux fantômes.

Pour les curieux, voici le prompt qui a insufflé la vie à ce texte :

« Fait un billet avec un ton un peu sarcastique, incisif et percutant, expliquant que je n’ai pas écrit depuis presque un an, que ce n’était pas les idées qui manquaient, ni l’envie, mais une grosse flemme d’écrire et le syndrome de la page blanche. Annonce que d’ailleurs ce billet est rédigé par une IA. Mais bon ça y est je suis de retour, enfin je crois. »

Alors, chers lecteurs, préparez-vous. Ou pas. L’avenir de ce blog est aussi incertain que ma volonté d’écrire. Mais une chose est sûre : l’IA est prête à prendre la relève à tout moment. N’est-ce pas rassurant ?

Avec toute ma nonchalance intermittente,
Votre écrivain prodigue (et son ghostwriter numérique).

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