Brèves de la semaine du 4 mars

Episodiquement, nous vous proposons un passage en revue de l’actualité de l’environnement et des sciences sous forme de brèves qui pourront éventuellement faire l’objet de billets plus détaillés. Cette semaine, des chercheurs transforment le fromage en or, d’autres ne prennent presque que de l’eau pendant qu’un autre groupe s’arrache les cheveux pour trouver une planète qui joue à cache-cache.

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La greffe de la réparation semble prendre … et fait face à la pénurie de main d’œuvre

Après les terribles décennies du jetable, il semble que l’orientation en faveur de la récupération et de la réparation prenne peu à peu de l’ampleur et c’est tant mieux.

Un réel décollage du secteur de la réparation

Selon le site Novethic, de plus en plus de consommateurs se décident à faire réparer ou réparer eux-mêmes leurs objets plutôt qu’à les remplacer. Nous avions déjà dans un précédent billet évoqué cette tendance et quelques sites qui aident les personnes à se lancer dans la réparation, l’émergence de repaire cafés, etc.. Du reste certaines entreprises de plus en plus s’orientent sur cette activité de la réparation et le SAV de certains groupes, vu parfois comme la cinquième roue du carrosse est en passe de devenir pour ces sociétés le point nevralgique. Des sociétés dédiées à la cause apparaissent désormais comme la société Murfy qui propose tout un ensemble de prestations à domicile pour donner une seconde vie aux objets.

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La barbe ! Ou comment choisir un rasage avec le moins de déchets

Depuis l’adolescence, l’auteur de ces lignes n’aime pas se raser. C’est un plaisir pour certains et c’est tant mieux, mais ce n’est pas pour moi. Mais, avec la vie active (qu’on placera à la fin des années 90 – début des années 2000) la barbe n’était pas à la mode et il fallait se raser. Ayant la barbe dure, il fallait se résoudre au rasage à la main.

Cette période des années 2000 a connu la surenchère du jetable allant de deux lames, à 3 lames, 4 lames et j’ai perdu je compte depuis. A l’époque déjà ces déchets me gênaient un peu mais la conscience environnementale était un peu moindre à l’époque : je croyais encore qu’il suffisait juste de recycler pour que tout soit merveilleux, hélas ce n’est pas aussi simple. Le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas.

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